Elections présidentielles : débat

Présidentielle 2007 - Orange





14/04/2007 - Olivier Besancenot plaide pour "l'urgence sociale"

Réussir à imposer les thèmes sociaux" dans la campagne, c'est le pari d'Oliver Besancenot. Le candidat de la LCR a tenu à revenir hier sur la "séquence politique et sociale exceptionnelle" de ces 2 dernières années, faisant notamment allusion au référendum sur la constitution.

14/04/2007 - Marie-George Buffet tente le rassemblement


Vlire la suite >>]oter utile, c'est voter pour une candidature qui résolve les problèmes" et pas "pour éliminer le candidat le plus pire". La candidate du PCF tente de mobiliser la gauche de la gauche à moins de 10 jours du 1er tour et s'adresse à ceux "qui attendent beaucoup d'une ambition à gauche".

14/04/2007 - Voynet ne comprend pas Rocard

La sortie de Michel Rocard est incompréhensible". Dominique Voynet réagit à la proposition de l'ancien ministre qui souhaite une alliance "avant le 1er tour" entre S.Royal et F.Bayrou. "On l'a connu plus déterminé à faire valoir ses convictions", a déclaré la candidate des Verts. (Dioranews)

14/04/2007 - Nicolas Sarkozy en banlieue

Le candidat de l'UMP s'est rendu à Meaux hier soir. Plus d'une heure de dialogue tendu avec une centaine d'habitants. Nicolas Sarkozy s'est expliqué sur les termes de "racailles" et "Kärcher" refusant de les retirer. Il a promis un "plan Marshall 2" en faveur des 250 000 jeunes des cités

14/04/2007 - Villiers plaide pour une protection douanière

Une protection "douanière, commerciale et monétaire", c'est ce qu'entend mettre en place Philippe de Villiers s'il est élu. Le candidat MPF a plaidé pour un euro "faible" car c'est "un échec" et "un mensonge". Il regrette que la question de la mondialisation ait été "escamotée".

14/04/2007 - François Hollande répond à Michel Rocard

Une alliance entre l'UDF et le PS avant le 1er tour est "inconcevable". François Hollande a estimé vendredi à Marseille que "beaucoup" des électeurs du candidat UDF François Bayrou "rejoindront Ségolène au 2e tour" pour permettre une victoire contre Nicolas Sarkozy.

13/04/2007 - Laguillier pour la proportionnelle 'intégrale'

Selon Arlette Laguillier, la proportionnelle intégrale serait "bonne pour la démocratie". En revanche, la candidate LO juge que la proposition de Brice Hortefeux d'introduire une dose de proportionnelle aux législatives relève "un petit peu de la magouille".

13/04/2007 - Besancenot donne des conseils à la gauche

Olivier Besancenot appelle la gauche à "occuper le terrain des questions sociales" et non celles de l'immigration ou de l'insécurité qui sont "les terres de la droite". Le candidat LCR "ne voit pas comment (le PS) pourrait gagner les élections autrement".

13/04/2007 - Nicolas Sarkozy va en banlieue, à Meaux

Sarkozy a rencontré vendredi à Meaux le président du Parlement des banlieues, Karim Zéribi. Ce Parlement organisé en 2001 a interpellé en février les candidats avec un "Manifeste des quartiers populaires" et "trente propositions pour changer la vie des quartiers".

13/04/2007 - Royal:''il n'y aura de ma part aucune tractation''

Le candidat du FN évoque des "points possibles d'accord et de convergence" avec celui de l'UMP, qu'il qualifie de "courtois".

Enquêtes : " Le Canard " évoque un accord secret Sarkozy-Chirac
Le Canard Enchaîné a affirmé hier qu'un accord secret a été passé entre Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac pour éteindre les enquêtes judiciaires visant le chef de l'Etat, provoquant une cascade de protestations et les démentis de l'UMP et de l'Elysée (...)
Source: Le Bien Public le jeudi 12 avril 2007 à 10:05
Nicolas Sarkozy : "Bayrou est devenu un candidat de gauche" ( Le Monde )

Présidentielle
Bayrou et Royal misent sur le «réflexe TSS»
Les candidats UDF et PS rêvent d'un élan général «tout sauf Sarkozy» au second tour.
Par Nathalie RAULIN, Pascal VIROT
QUOTIDIEN : jeudi 12 avril 2007

Elle n'a pas vraiment réussi à le coincer comme le candidat sortant. Ségolène Royal parviendra-t-elle à faire vaciller Nicolas Sarkozy en jouant sur le rejet du projet et de la personnalité de son adversaire? Autrement dit, la candidate socialiste va-t-elle chercher à transformer cette élection présidentielle en référendum anti-Sarkozy ? François Bayrou a lui aussi tenté de jouer cette partition, en expliquant implicitement qu'il était l'unique candidat susceptible de faire barrage à celui de l'UMP. Un appel à la gauche pour qu'elle vote «utile» dès le premier tour, c'est-à-dire qu'elle mise sur le candidat de la droite plastique s'il est le seul capable de contrer le candidat de la droite dure au second.

Depuis plusieurs jours, la candidate socialiste tente de faire ressortir le côté anxiogène de son adversaire UMP. Ainsi, le 5 avril à Bordeaux, Ségolène Royal l'évoquait-elle comme le candidat «des clivages, des conflits, des divisions et des oppositions, qui dresse ceux qui ont un emploi contre ceux qui n'en ont pas [...], ceux qui habitent les centres-ville contre ceux qui habitent les périphéries». Alors qu'elle entend représenter «la France calme» contre «la France excitée», un adjectif qui colle à la peau de Sarkozy, qui s'est même voulu le porte-parole de la «France exaspérée».
Mais cette ultime arme, pour ou contre le candidat de l'UMP, ne fera pas tout. François Hollande la juge nécessaire, mais pas suffisante. Certes, le premier secrétaire du PS estime qu' «au soir du premier tour, c'est une autre campagne qui commencera». Dès lors, explique-t-il, la seule question qui vaudra sera : «Quel président ou présidente voulons-nous pour la France ?» La personnalité inquiétante de Sarkozy pourrait alors devenir son boulet. François Hollande pense toutefois que la victoire doit se jouer sur «du positif». Il se souvient de la campagne de 2002. A l'époque, le candidat Lionel Jospin misait ouvertement pour l'emporter sur un large rassemblement de tous les anti-Chirac au second tour. Encore aurait-il fallu qu'il passe le premier...
Cette tactique, Ségolène Royal y songe sans doute.

Meeting de Ségolène Royal et de José Luis Zapatero à Toulouse le 19 avril.



Ségolène Royal, a annoncé lors de son point presse au PS, qu'elle tiendra un meeting avec le chef du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero, le 19 avril à Toulouse.

Les deux responsables socialistes évoqueront "le partage des valeurs socialistes qui sont les nôtres".

Deuxième sujet de la rencontre : "la question des énergies renouvelables" car "l'Espagne a beaucoup accéléré les choses" et "je souhaite que la France fasse de même".

"Nous aborderons la question d'Euro-Méditerranée, la question de la maîtrise des flux migratoires, la question de la culture, la question de la lutte contre le chômage des jeunes et celle de la lutte contre la violence faite aux femmes. L'Espagne a été exemplaire de ce point de vue là. »

Si vous ne l'aviez pas déjà je vous propose ce lien sur internet qui vous permet de mettre en comparaison deux candidats :

http://www.votons.info/2007/election-presidentielle/comparer

Personnellement je l'ai trouvé vraiment interressant !

Les sondages en ligne et les sondages effectués par les organismes spécialisés ne coïncident pas : l'éventail de personnes s'exprimant en ligne, étant "plus ouvert".

Test en ligne :

http://francepolitique.free.fr/PR07sondages.htm

Je rejoins Gavroche : nous sommes manipulés de toutes parts : on essaie de convainvre les non convaincus de l'ordre de 30 % à ce jour ! et puis pour les organismes privés .. bizness is bizness !

"le fermier dans son pré ... ohé ohé... le fermier prend sa femme ohé ohé.. la femme prend son enfant ohé ohé ..."

À quelques semaines du scrutin, la Commission des Sondages estime nécessaire, eu égard à la place qu’occupent les sondages d’intentions de vote dans la campagne électorale, d’insister sur la prudence avec laquelle les résultats de ces sondages doivent être interprétés et ceci pour deux séries de raisons.
La première tient aux modalités de constitution des échantillons des personnes interrogées, à la proportion élevée des personnes sondées n’exprimant aucun choix et à celle, parmi les intentions exprimées, des personnes qui déclarent n’être pas sûres de leur choix.
La seconde tient à la marge d'incertitude dont sont affectés les résultats publiés. La taille et les modalités de constitution des échantillons ont notamment pour effet que les résultats obtenus par les candidats réalisant, dans les intentions de vote, un score qui n'excède pas, après redressement, un pourcentage de quelques points, ainsi que les écarts de cet ordre qui séparent deux candidats, ne sont pas véritablement significatifs.
Enfin, la Commission rappelle que les sondages ne sont qu’un instrument d’analyse de l’opinion publique et non pas un outil de prévision des résultats électoraux.

Bon Gavroche a été prolixe et je n'ai pas de remarques particulières à rajouter à ce qu'il a énoncé et ma conclusion sera de toute façon la même que la sienne donc...

/me part admirer les jonquilles lol

Ha si ... je n'ai jamais voté en fonction d'un sondage sachant le coté aléatoire qu'ils ont ...

Les sondages se suivent mais ne se ressemblent pas !

Qu'en pensez-vous ? les organismes de sondages sont-ils assujettis aux

partis politiques ?

Essayer ce lien si vous êtes encore indécis....
J'ai été étonné et franchement étonné du résultat, en ce qui me concerne..

http://www.quelcandidat.com/quel-candidat-vous-ressemble.php

Peut-être qu'elle veut également ratisser sur les mêmes terres que SARKOZY...... donc chez LE PEN !!!

Qui sait ??

Le soutien des personnalités du spectacle : qui soutient qui ?


Quels candidats soutiennent-ils ?

Baroin se montre plus "radical" que Sarkozy : des points en plus pour le candidat , qu'il fait passer pour "modéré" ... ??

Baroin: "il peut y avoir des expulsions avant juillet" de parents d'enfants scolarisés
Le ministre de l'Intérieur François Baroin a déclaré mercredi qu'il "peut y avoir des expulsions avant juillet" de parents d'enfants scolarisés alors que son prédécesseur Nicolas Sarkozy avait suspendu l'an dernier ces expulsions jusqu'à la fin de l'année scolaire. Lire

Gérard Schivardi


Naissance
1950

Lieu de naissance
Narbonne

Formation
Maître artisan-maçon depuis 1970.

Situation familiale
Gérard Schivardi est marié et père de deux enfants.

Hobbies
N.C.

Lieu de villégiature


Réussite
- En 2007, Gérard Schivardi a déposé 554 signatures au Conseil constitutionnel, devançant Olivier Besancenot, Dominique Voynet ou Arlette Laguiller.
- En 2001, il obtient la médaille d’argent du courage et du dévouement pour son action durant l'inondation de Mailhac.

Echec
Gérard Schivardi n’est pas parvenu avant le début de la campagne officielle à se faire connaître des électeurs ni à s’imposer dans les medias.

Idée choc
Gérard Schivardi se présente comme le « candidat des maires » pour la rupture avec l’Union européenne et pour la défense du service public. Il est soutenu par le Parti des travailleurs.

Il a dit de lui-même
"Je suis républicain et socialiste et donc je ne suis pas d’extrême gauche. (…) Je pense que si Fabius s’était présenté dans le sens de la rupture avec l’Union (…), je ne me serais pas présenté". (Interview sur "France 2" le 11 mars 2007)

On a dit de lui
"La candidature de Gérard Schivardi est la seule qui mette à l’ordre du jour la rupture avec l’Union européenne. Elle pose les vraies questions et propose de véritables solutions".(Daniel Gluckstein, communiqué du Parti des travailleurs, janvier 2007)

Parcours
- 1973-1988 : préside le syndicat des maçons de l’Aude
- 1975-2003 : adhérent au Parti socialiste
- 2001 : est élu maire de Mailhac
- 1984-2002 : député européen
- 2002 : fonde "le comité de défense des communes et des services publics" pour lutter contre le regroupement forcé des communes
- 2003 : est élu conseiller général du Canton de Ginestas
- 2004-2005 : milite activement pour le « non » à la Constitution européenne
- 2007 : candidat à l’élection présidentielle

Arlette Laguiller a travaillé des années dans le même établissement bancaire : je ne pense pas qu'on lui ait fait des "cadeaux" : les banquiers ne sont pas des philanthropes.

Il suffit d'être délégué du personnel pour bénéficier de certains avantages (code du travail).

Le mérite d'Arlette Laguiller, c'est qu'elle est restée fidèle à elle-même, même si ses idées font sourire, car dépassées et quelque peu naives.

Quant à Besancenot, il vise La carrière politique : à suivre !

Gavroche,

Moi aussi je pense comme toi au sujet du facteur et même de Arlette.

Comme tu dis, ils profitent bien et sans aucune honte du système qu'ils voudraient renverser.

Quelle hypocrisie !

Et dire que certains y croient encore à leurs bobards.

SARKOZY RESPECTE "TOUS" LES CANDIDATS (Reuter)

"Ce qui est important pour moi c'est de convaincre (...), de montrer que le plein emploi c'est possible, de montrer que la maîtrise de l'immigration c'est possible, que l'intégration on va la réussir, de montrer qu'on peut lutter contre l'oisiveté d'un certain nombre de jeunes de banlieue, leur donner une formation, leur donner un emploi", a-t-il expliqué.
Il de nouveau défendu sa proposition très controversée d'associer au sein d'un même ministère les questions de l'immigration et celles de "l'identité nationale".
"Je n'ai pas l'intention de laisser à l'extrême-droite le monopole de la nation, de la même façon que je n'ai pas l'intention de laisser à l'extrême-gauche le monopole de la générosité", a déclaré le candidat de l'UMP.
Il s'est réjoui de ce que la candidate socialiste plaide pour une restauration des symboles de la nation et a ironisé sur la conversion de Ségolène Royal au thème de l'identité nationale - "Elle m'a dépassé", a-t-il dit.
"J'ai juste un petit effort à demander aux socialistes s'il veulent bien me rejoindre sur l'identité nationale", a-t-il ajouté : "Je leur demande d'arrêter avec la repentance (...) parce qu'il n'y a pas deux histoires de France, une histoire de France de gauche et une histoire de France de droite."
Nicolas Sarkozy a déclaré respecter "tous les candidats" - Ségolène Royal, l'UDF François Bayrou mais aussi, a-t-il laissé entendre, le président du Front national Jean-Marie Le Pen.
"Je respecte tous ceux qui se lancent dans une compétition dont je suis bien placé pour dire qu'elle est bien difficile", a dit le candidat UMP, qui s'est déclaré "peiné" des attaques de ses adversaires, dont celles de François Bayrou.
Le président de l'UDF "oublie toutes ces années où ce n'était pas si désagréable d'être mon ami. J'en suis désolé pour lui. De se renier à ce point, c'est quand même un peu triste", a-t-il déclaré.

:(

Il doit être drôlement productif pour son employeur ( PTT ), Monsieur Olivier Besancenot...
Il ne doit sortir son beau vélo tout jaune que quand il y a des caméras !!
Quand je pense qu'il prône la fin du patronnat, la redistribution des richesses et qu'il profite largement du système, ça me laisse songeur et pantois !!

Olivier Besancenot


Naissance
1974

Lieu de naissance
Levallois-Perret (Hauts-de-Seine)

Formation
Titulaire d’une licence d’histoire de l’université Paris X, il est facteur à Neuilly-sur-Seine depuis 1997.

Situation familiale
Célibataire, père d’un enfant né en 2003.

Hobbies
Olivier Besancenot pratique régulièrement la boxe française et le football. Il aime le rap (il serait d’ailleurs ami avec Joey Starr), le zouk et la soul music.

Lieu de villégiature
Non communiqué.

Réussite
- En 2002, Olivier Besancenot, alors âgé de 28 ans, est le plus jeune candidat à se présenter à l’élection présidentielle.
- Lors de cette élection, il remporte 4,25 % des suffrages. C’est le meilleur score jamais réalisé par la LCR.

Echec
- En 2004, l’alliance conclue entre la LCR et Force ouvrière en vue des élections régionales et européennes s’est soldée par un échec.
- Le 19 janvier, Olivier Besancenot n’avait recueilli qu’un peu moins de 400 promesses de signatures (RTL, 19 janvier 2007).

Idée choc
"Nos vies valent plus que leurs profits".

Il a dit de lui-même
"Je ne veux plus servir de caution à une unité de façade où on fait comme si on était tous d’accord et où on s’engueule dans les coulisses sur le nom de celui ou celle qui pourra incarner la candidature". (Le Monde, 23 novembre 2006).

On a dit de lui
- Alain Krivine a déclaré, au moment de la désignation de ce dernier comme candidats aux élections présidentielles de 2007 : "Dans les sondages Olivier est entre 6 et 8 %, Arlette entre 3 et 4 % et Buffet entre 2 et 3 % (…). Olivier est populaire dans les couches jeunes et populaires. Il est jeune, travaille et parle comme eux. " (Libération, 26 juin 2006)
- Interrogée sur une éventuelle candidature d’Olivier Besancenot, Marie-George Buffet a répondu : "Si la LCR veut être dans la "Star Academy" et jouer au contestataire du roi sur fond de bipartisme, elle le peut mais ce n’est pas de cela dont on a besoin." (Le Monde, 29 juin 2006).

Parcours
- 1988: il intègre les jeunesses communistes révolutionnaires (JCR)
- 1991: il adhère à la Ligue communiste révolutionnaire)
- 1997: il adhère à Sud-PTT)
- 1999-2000 : attaché parlementaire d’Alain Krivine au Parlement européen)
- 2002 : il est candidat pour la première fois à l’élection présidentielle
- 25 juin 2006 : la Conférence nationale de la LCR désigne Olivier Besancenot comme candidat à l’élection présidentielle d’avril 2007.

"La France présidente", nouveau slogan de Ségolène Royal

Samedi 24 mars 2007, 12h42
"La France présidente" est le nouveau slogan choisi par la candidate socialiste à la présidentielle Ségolène Royal pour les quatre dernières semaines de campagne d'ici le premier tour.
Après "Pour que ça change fort" et "Plus juste, la France sera plus forte", dévoilé à Villepinte le 11 février lors de la présentation de son pacte présidentiel, Ségolène Royal a choisi "La France présidente" pour la dernière ligne droite avant le 22 avril.
Ce slogan veut porter "l'idée, qui est ressortie des débats participatifs organisés par Ségolène Royal, que tout le monde prend son avenir en main, doit être acteur du changement, et qu'en quelque sorte, c'est toute la France qui est présidente" si Mme Royal est élue, a précisé le directeur de campagne Jean-Louis Bianco, interrogé par l'AFP.
"En même temps, c'est aussi une référence au choix d'une femme" pour diriger le pays, a-t-il ajouté.
Le slogan apparaîtra lors des prochaines réunions publiques de la candidate socialiste et sur une nouvelle série d'affiches à laquelle travaillait encore son équipe ces dernières 48 heures, selon M. Bianco.

(source Linternaute)

Les présidentiables > Frédéric Nihous

Chasse Pêche Nature et Traditions


Frédéric Nihous

naissance
1967

Lieu de naissance
Valenciennes

Formation
Frédéric Nihous est juriste de formation. Il a été chargé de mission pour l’Agence de l’eau de 1991 à 1999. Il est attaché contractuel en mairie depuis 2005.

Situation familiale
Marié et père de deux enfants.

Hobbies
Il pratique diverses formes de chasse.

Lieu de villégiature
N.C.

Réussite
- Frédéric Nihous a été désigné candidat de CPNT à l’élection présidentielle 2007 avec plus de 80 % des voix, face à la pharmacienne Dominique Bourgois, 43 ans.
- En 2002, Jean Saint-Josse, dont Frédéric Nihous est directeur de campagne, remporte 4,23 % des voix, ce qui est considéré comme un succès.

Echec
Le mouvement CPNT obtient des scores très bas aux élections régionales et européennes de 2004, alors que Frédéric Nihous était directeur politique de CPNT et membre du comité exécutif.

Idée choc
Candidat de la ruralité, Frédéric Nihous milite pour le respect des cultures locales, des traditions et un meilleur équilibre villes-campagnes.

Il a dit de lui-même
"Je suis un vrai écologiste, qui agit, pas un contemplatif qui fonctionne avec une écologie punitive comme les Verts. Je porte une écologie respectueuse de l’homme et de ses activités." (JT de TF1, janvier 2007)

On a dit de lui
" Notre candidat est jeune, compétent, fidèle à ses convictions et aux valeurs du mouvement." (Jean Saint-Josse – Septembre 2006)

Parcours
- 1992 : adhère au groupe CPNT
- 1997-2004 : secrétaire général puis vice-président de la Fédération des chasseurs du Nord
- 2002 : directeur de campagne de Jean Saint-Josse, candidat CPNT à l’élection présidentielle
- 2006 : désigné candidat à la présidentielle pour 2007
- Depuis 2002 : directeur politique de CPNT

Entièrement d'accord avec Lasso et Gavroche !!!

Et je vais reprendre un extrait d'un article de libé ci dessous qui résume beaucoup et analyse me semble t il objectivement l'intervention de notre cher Président :

Le syllogisme anesthésiant
Jacques Chirac aurait pu soutenir Nicolas Sarkozy, et on peut rêver à ce qu'aurait été sa déclaration si Alain Juppé, «le meilleur d'entre nous», avait été candidat. L'une de ses plumes administratives lui a préféré ce texte sans défaut, où Sarkozy se trouve effacé par la logique politique : 1) «J'ai voulu l'UMP» ; 2) «Celle-ci a choisi Sarkozy» ; 3) «Je voterai pour lui et je le soutiendrai». Le parti vient d'abord dans le raisonnement, tout comme au long de la carrière politique de Jacques Chirac. Ce faisant d'ailleurs, le Président désavoue la doctrine gaullienne de «la rencontre d'un homme et d'un peuple», son propos signifiant exactement que si l'UMP avait choisi Alliot-Marie, ou Jean-Louis Debré, il les aurait soutenus, et non Sarkozy. Les mérites et démérites de celui-ci, les vertus éventuelles de son programme, ne sont en rien considérés par le chef de l'Etat, qui ne se prévaut que de la discipline partisane pour expliquer son vote, un peu comme un député débutant à la Chambre des communes, où la rigueur est de règle. Et c'est là que la passion cachée apparaît malgré tout, tant cette soumission bizarre à la structure semble déplacée à l'occasion d'un grand choix national. On eût attendu que l'amour de la France et des Français, si joliment exprimé lors de l'allocution d'adieu, s'exprime autrement à ce moment ultime. C'est la douleur d'on ne sait quelle blessure qui l'a emporté.

Libé 20/03/2007 par F Surreau

Ca résume tout il ne soutient pas Sarko il soutient l' UMP

Personne n'en doutait avec tout ce que cela lui a profité il serait ingrat

Malheureusement, Ils influencent, les médias : notre presse n'est pas indépendante donc pas libre, contrairement aux USA (ex l'affaire des caricatures!)

Le rôle de la presse est de transmettre l'information et non de jouer les" 007 au service de sa majesté"