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Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
on se fout de nous
Lun 13 Oct 2008 - 12:29
Encore et toujours : France terre d'asile des criminels de tous genres.
Cette femme, qui ne l'oublions pas, est une criminelle de grande envergure et un assassin, aurait dû être extradée vers son pays, l'Italie,comme le Président Sarkozy l'avait prévu.
Pourquoi soudain ce revirement de situation ?
Elle travaillait en France comme ... assistante sociale !! et en parallèle, était gravement malade !
je veux bien la remplacer, moi. Allez VIA...
Une fois de plus On se fout de nous.
Cette femme, qui ne l'oublions pas, est une criminelle de grande envergure et un assassin, aurait dû être extradée vers son pays, l'Italie,comme le Président Sarkozy l'avait prévu.
Pourquoi soudain ce revirement de situation ?
Elle travaillait en France comme ... assistante sociale !! et en parallèle, était gravement malade !
je veux bien la remplacer, moi. Allez VIA...
Une fois de plus On se fout de nous.
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Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Le débat ...
Lun 13 Oct 2008 - 12:20
Marina Petrella, une ex-brigadiste qui vivait à visage découvert en France
Dimanche 12 octobre 2008, 21h18
Marina Petrella, l'ancienne des Brigades rouges réclamée par l'Italie pour faits de terrorisme et à l'extradition de laquelle le président français Nicolas Sarkozy a renoncé, a refait sa vie en France où elle vivait depuis 1993 à visage découvert, selon ses proches.
Cette femme, qui a eu 54 ans le 23 août, offre un regard déterminé sur les photos illustrant les sites internet de ses comités de soutien et brandies lors des rassemblements hebdomadaires organisés à Paris place Beaubourg.
Mais son état physique et mental n'a cessé de se détériorer depuis son arrestation en août 2007 à Argenteuil (Val-d'Oise), où elle vivait et travaillait en tant qu'assistante sociale.
"En abandon de vie", selon les médecins, refusant de s'alimenter, Marina Petrella avait écrit il y a quelques mois des lettres d'adieu à son mari, Hamed, rencontré en France, et à ses deux filles, Elisa, née il y a 25 ans en prison en Italie, et Emma, qui aura onze ans à la fin de l'année.
Dimanche 12 octobre 2008, 21h18
Marina Petrella, l'ancienne des Brigades rouges réclamée par l'Italie pour faits de terrorisme et à l'extradition de laquelle le président français Nicolas Sarkozy a renoncé, a refait sa vie en France où elle vivait depuis 1993 à visage découvert, selon ses proches.
Cette femme, qui a eu 54 ans le 23 août, offre un regard déterminé sur les photos illustrant les sites internet de ses comités de soutien et brandies lors des rassemblements hebdomadaires organisés à Paris place Beaubourg.
Mais son état physique et mental n'a cessé de se détériorer depuis son arrestation en août 2007 à Argenteuil (Val-d'Oise), où elle vivait et travaillait en tant qu'assistante sociale.
"En abandon de vie", selon les médecins, refusant de s'alimenter, Marina Petrella avait écrit il y a quelques mois des lettres d'adieu à son mari, Hamed, rencontré en France, et à ses deux filles, Elisa, née il y a 25 ans en prison en Italie, et Emma, qui aura onze ans à la fin de l'année.
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