Vos poèmes , textes, dessins, peintures

Mon fidèle, mon doux, mon compagnon, mon tigrou,

Rayon de soleil de ma vie, tu illumines mes jours,

Sans toi, je ne serais plus.

Bonne étoile ou fée peu importe nous sommes réunis.

Alors que je sombrais dans le néant abyssale,

Ayant au ventre l’envie de la nuit sans fin,

En entrant dans ma vie tu m’as appris que même

Au fond du gouffre tant que subsiste une étincelle de vie

Il reste l’espoir.

Deux âmes égarées, trahies, meurtries dans nos chairs et dans nos cœurs,

Nous avons redécouvert ensemble le verbe aimer,

Le souffle de la confiance, la caresse de la tendresse et la chaleur de l’amour.

Sur le chemin escarpé de la vie, pattes dans la main nous avançons.

A deux nous sommes plus fort !

Tes yeux sont le reflet de tant d’amour et de tendresse,

Que lorsque le doute perversif s’insinue en moi tel un poison lent

Je m’y noie pour chasser mes peines.

Mon cœur, mon amour ma boule de poils, océan de douceur,

Au delà de la vie, tu resteras ma plus belle histoire d’amour !

Aujourd'hui tu me regardes de la haut ....

C'est beau, c'est tendre, c'est triste !


Ton tigrou est au paradis des animaux : c'est le seul paradis auquel je crois !


Bisous à toi

merci ally!

Ecoutez, c'est un régal


http://membres.multimania.fr/jmgammella/index.htm

Texte "emprunté" à un forum ami : salondelabonnehumeur

La cigale et la fourmi... poliquement pas correct du tout

VERSION FRANCOFRANCAISE


La fourmi travaille dur tout l'été dans la canicule; elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l'hiver.
La cigale pense que la fourmi est stupide; elle rit, danse et joue tout été
Une fois l'hiver arrivé, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
La cigale grelottante de froid organise une conférence de presse et demande pourquoi la fourmi a le droit d'être au chaud et bien nourrie
tandis que les autres moins chanceux comme elle ont froid et faim.
La télévision organise des émissions en direct qui montrent la cigale
grelottante de froid et passent des extraits vidéo de la fourmi
bien au chaud dans sa maison confortable avec une table pleine de provisions.
Les Français sont frappés que, dans un pays si riche, on laisse souffrir cette pauvre cigale tandis que d'autres vivent dans l'abondance.
Les associations contre la pauvreté manifestent devant la
maison de la fourmi.
Les journalistes organisent des interviews demandant pourquoi la fourmi est devenue riche sur le dos de la cigale et interpellent le gouvernement pour augmenter les impôts de la fourmi afin qu'elle paie "sa juste part".
En réponse aux sondages, le gouvernement rédige une loi sur l'égalité économique et une loi (rétroactive a l'été) d'anti-discrimination.
Les impôts de la fourmi sont augmentés et la fourmi reçoit aussi une amende pour ne pas avoir embauché la cigale comme aide.
La maison de la fourmi est préemptée par les autorités car la
fourmi n'a pas assez d'argent pour payer son amende et ses impôts.
La fourmi quitte la France pour s'installer avec succès ailleurs.
La télévision fait un reportage sur la cigale maintenant bien nourrie, voire engraissée.
Elle est en train de finir les dernières provisions de la fourmi bien que le printemps soit encore loin.
L'ancienne maison individuelle de la fourmi devenue logement social pour la cigale, se détériore car cette dernière n'a rien fait pour l'entretenir.
Des reproches sont faits au gouvernement pour le manque de moyens!!!
Une commission enquête est mise en place, ce qui coûtera 10 Millions d'euros.
La cigale meurt d'une overdose d'assistanat; Libération et Humanité commentent sur l'échec du gouvernement à redresser sérieusement le problème des inégalités sociales.
La maison est squattée par un gang d'araignées landestines, le gouvernement se félicite de la diversité multiculturelle de la France.
Les araignées organisent un trafic de marijuana et terrorisent le reste de la communauté, compatissante ....

Fin


Des commentaires ?

Voilà, voilà, voilà pourquoi Jhonny demande à être Belge pour aller vivre à Monaco, en passant par la Suisse.

Oups, j'ai encore dit une bêtise ???

Pauvre Johnny !

Que de bruit pour rien !

il pourrait rechanter cette belle chanson :

"Mon histoire est une histoire comme on en voit tous les jours............"

Il faut croire qu'à l'époque de cette chanson , il n'était pas encore plus riche que riche ... notre Johnny national !

Il vote Sarkozy... et il a le droit : l'argent attire l'argent !

Il devrait peut-être revoir son film : "d'où viens-tu Johnny" ?!!

Oui peut-être bien, mais là je crois qu'il chante :

Pour moi la vie va commencer........

Si tous nos désirs se réalisaient, bon nombre de nos rêves seraient détruits.

Heu ??????????? le désespoir, je connais !!!!!!

"L'amour c'est quand l'envie vous prend qu'on ait envie de vous"

Henri de Toulouse Lautrec

16 Nov 2007
c'est l'été qui fout le camp...

Poetefilou



C’est l’été qui fout le camp et le souk dans ma tête,
Il pleut depuis longtemps faudrait que ça s’arrête,
Les nappes se remplissent d’aquifère phréatique
Et les agriculteurs se plaignent, c’est logique.

Plus à l’Est au Liban y’a des salauds qui tirent
Des salauds qui ripostent et me détruisent Tyr !
Tous des cons dans ce coin ? Se battent pour de la flotte !
Et il n’y aurait pas dans leurs têtes de linottes :

Cette lueur de sens qui leur expliquerait
Que le pognon passé à se percer l’trou duc
Aurait déjà construit cent cinquante aqueducs
Permettant à chacun de partager la paix !

Et un peu plus à l’Est, c’est encore bien pire
Entre Tigre et Euphrate, guerre cachant son nom
Oncle Sam a voulu agrandir son Empire
Pour des barils de brut, ça fait un peu brouillon !

Ses soldats à l’U S, ils n’avaient pas capté
Malgré la Normandie, le Viêt-Nam, la Corée
Qu’une balle de fusil c’est tout rempli de plomb
Et que pour la santé ce n’est pas vraiment bon.

Merde alors mais que font diplomates, ministres,
Présidents et mollahs, bande de lourds sinistres ?
A la botte d’un niais qui fait la Sainte Nitouche
J’ai nommé ce benêt : le président Bas Bush.

Y’en a marre de ce mec, ignard, inculte et sot
De sa Condolleza et d’son sourire idiot
De ses GI pleurant et désertant le champ
Car ils sont et ne restent que de grands enfants.

Qui est plus à blâmer du musulman inculte
N’ayant pas tout compris de son compliqué culte
Et qui fait exploser quelque symbole phallique
Croyant gagner ainsi une mort magnifique,

Ou de l’Américain qui s’en fout tellement,
Endormi par cent ans de confort douillet,
Qu’il ne va plus aux urnes et donne un blanc billet
A un débile profond pour être président ? …/ …

Et merde, je l’ai dit qui le veut peux m’entendre
Et pour ce qu’il en est des décisions à prendre
On a plein à Paris d’énarques, d’agrégés…
Ici, fini l’été, il va bientôt neiger !

20 août 2006.

J'aime beaucoup le coté engagé et pamphlétaire de ce poème

Le moins que l'on puisse dire est qu'il est engagé.... mais d'une réalité certaine....

Si vous êtes poète dans l'âme ou tout simplement si vous aimez la poésie c'est ici :

http://www.jepoeme.com/invitations.php

Lasso a écrit:

Qui ne connait pas le désespoir Gavroche ???

"Sortir indemne de la vie, celà pourrait arriver;mais celà n'arrive sans doute jamais "

Cioran

Je suis d'un naturel optimiste, même dans des moments pénibles, je fais tout pour garder ma bonne humeur et mon moral...

Dans ton message, Lasso, tu disais " l'orgasme est un paroxysme, le désespoir aussi ".
Je voulais plaisanter en répondant que je ne connaissais que le désespoir !!

Idem pour moi, j'ai la chance d'être d'un naturel optimisme : rose (ou bleu) au dehors même s'il fait gris en-dedans.

Quant à l'orgasme, je ne ne m'exprimerais pas ... na !

Bleu Marine

Quand tout est gris,
Quand tout est triste...
Le ciel est bleu Marine.

Quand tu portes ta vie,
Quand celle-ci te leste...
Le ciel est bleu Marine.

Qu'aux idées noires tu survies,
Confondue dans le conformiste...
Le ciel est bleu Marine.

Quand pas à pas tu gravies,
Ton chemin de croix, contriste...
Le ciel est bleu Marine.

Quand l'obscurité te convie,
Empêtré dans ta batiste...
Le ciel est bleu Marine.

Mais n'oublie pas amie,
Où en ton cœur sommeille l'artiste...
Il sera toujours bleu Marine,

Yves

Merci Yves

http://fr.calameo.com/read/001272904ba3cb99e00ed